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Jusqu’au bout du monde avec mon sac Rain Forest

Je me rappelle très bien du jour où j’ai reçu mon sac à dos Rain Forest de National Geographic. Je prenais les transports quelques heures plus tard pour un voyage de plus d’un an à l’autre bout du monde, direction la Nouvelle-Zélande, avec l’envie de revenir ensuite par la route jusqu’à Paris.

J’ai eu vraiment peur de ne pas le recevoir à temps. C’était la touche finale d’un équipement de voyage minutieusement réfléchi et préparé, afin de ne partir qu’avec les accessoires les plus solides, légers et surtout versatiles. J’ai prévu de me déplacer en moto lors de ce voyage, alors vous comprendrez bien que chaque objet a été choisi avec soin.

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Il ne me restait donc plus qu’un sac pour mon appareil photo. J’avais depuis longtemps abandonné l’idée d’une sacoche photo en bandoulière, car pas vraiment séduite par l’idée que je m’en faisais : un accessoire ni très beau ni très pratique et surtout encombrant. Mais la possibilité d’un sac à dos photo m’a tout de suite plu ! C’était vraiment le compagnon de voyage le plus pratique que je pouvais espérer car il s’adapte parfaitement à mes besoins très variés, à la ville comme en vadrouille.
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Arrivée à Auckland en Nouvelle-Zélande, j’ai très rapidement trouvé un travail et un appartement dans le centre-ville. Le voyage pouvait commencer.

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La semaine je suis chef pâtissière dans un restaurant à Auckland. Tous les jours quand je vais au travail, j’ai besoin de mon carnet de recettes et de mon ordinateur pour écrire les menus et faire des recherches. Je les glisse simplement dans le compartiment dorsal et les voilà bien calés pour le trajet ! J’ai aussi besoin de mon uniforme que je glisse dans la poche principale du sac. Mais le plus important pour moi est mon appareil photo. Chaque nouvelle création pâtissière a le droit à sa photo qui permettra au restaurant de faire vivre ses réseaux sociaux. Mon sac a un compartiment spécial à l’avant qui protège mon appareil photo et mes objectifs (mais cet espace est aussi facilement modulable pour y faire entrer de plus gros objets).
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S’il est un partenaire idéal à la ville, c’est lors de mes week-ends que je le préfère encore. Je troque l’uniforme contre des vêtements de baroudeuse et je pars d’Auckland pour aller découvrir cet incroyable pays et espérer capturer les plus beaux paysages. Mon appareil photo reste bien au chaud dans sa poche, il ne me reste qu’à rajouter quelques vêtements de rechange, mon tout petit mais résistant trépied Befree Carbone dans la poche de côté, une gourde d’eau dans l’autre et me voilà partie.

 

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J’ai l’impression de ne plus rater une occasion de faire une photo maintenant, car j’ai accès à mon appareil d’un simple mouvement d’épaule, tout en restant confortable le reste du temps. Je le trouve aussi très beau, ce qui est un vrai plus quand on veut aussi s’en servir en ville.

Cette collection de National Geographic réveille en moi le souvenir de ces magazines qui s’entassaient dans ma chambre d’enfant et me ça fait sourire. J’en lisais chaque page religieusement, en espérant pouvoir partir parcourir le monde. Et chaque jour ce rêve devient un peu plus réalité.

 

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Maria la Rouge

Pâtissière de formation, c’est en voyageant à travers le monde grâce à son premier métier qu’elle se découvre une passion pour la photographie, aussi bien culinaire que de voyage. A travers son blog de voyage, elle partage ses aventures ainsi que ses photographies.
Baroudeuse par tous les moyens possibles, elle privilégie néanmoins la moto qui offre une plus grande possibilité de voyages et de déplacements.

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